Montréal
Concert Poster Archive
Montréal Concert Poster Archive (MCPA) est une collection numérique rassemblant des affiches, flyers, billets et découpures de journaux liés aux concerts tenus à Montréal, couvrant plusieurs décennies. Ce projet vise à préserver visuellement l’histoire des lieux de spectacles, des tournées et de la culture musicale locale, tout en documentant l’évolution graphique et sociale de la scène montréalaise à travers le temps.
52k+ images archivées
Fear
Foufounes Électriques
17 janvier 2026
Le concert de FEAR du 17 janvier 2026 aux Foufounes Électriques promettra un set punk féroce et sans filtre, fidèle à la réputation légendaire du groupe. Avec Mvll Crimes et Young Blades en première partie, la soirée s’annonce comme un pur retour à l’énergie brute et chaotique du punk old-school.
Collection: Steve Trottier
Rock n’ Ride
3430, rue Bellechasse
29 juillet 1995
Rock’n Ride 1995 s’est tenu le samedi 29 juillet 1995 au 3130, rue Bellechasse (Montréal) : un mini-festival 14h–23h mêlant culture snowboard/skate et rock local, avec Groovy Aardvark en tête d’affiche aux côtés de Tuniq’s, Men O’ Steel, Vagabonds et Anonymus Side Project. Porté par Rewind Snowboards et des médias/partenaires comme CISM 89,3 FM et Hour, l’événement offrait concours (planches à gagner) et commandites (Snapple, Gatorade, etc.), typiques de l’énergie alternative mi-90s.
Collection: Alain Provost
SCUM
Foufounes Électriques
3 avril 1985
Le concert SCUM (acronyme de Society Controlled Under Murderers) du 3 avril 1985 aux Foufounes Électriques fut l’un des tout premiers spectacles punk hardcore organisés dans le légendaire club de la rue Sainte-Catherine Est. Pour seulement 3 $, cette soirée brute et provocante — illustrée par une affiche sérigraphiée montrant une voiture de police renversée — incarnait parfaitement l’esprit anarcho-punk et contestataire de la scène montréalaise du milieu des années 1980.
Salles mythiques et légendaires de Montréal
La Comédie-Canadienne était une salle de théâtre et compagnie montréalaise (1958–1972) fondée par Gratien Gélinas, située au 84, rue Sainte-Catherine Ouest (coin Saint-Urbain). Héritière directe du Théâtre Gayety (1912–1953) puis Radio-Cité, la Comédie-Canadienne préfigure le Théâtre du Nouveau Monde (TNM).
Salles et bars de quartier montréalais
Le Verre Bouteille, situé au 2112 avenue du Mont-Royal Est à Montréal, est une salle intimiste d’environ 100 places qui a évolué depuis 1942 d’un bar-salon ouvrier vers un véritable « laboratoire de création » pour la chanson d’auteur québécoise. Depuis 2018, sous une nouvelle équipe de direction, la programmation s’accélère, tout en préservant l’esprit familial et la proximité artiste-public qui font sa singularité.
L’âge d’or des Cabarets de Montréal
Le cabaret Chez Maurice, également connu sous le nom de Danceland, était un établissement emblématique situé au coin de la rue Sainte-Catherine Ouest et de la rue de la Montagne, à Montréal. Fondé en 1930, il était réputé pour ses spectacles de danse, sa musique live et son offre variée de divertissement. Pendant plusieurs décennies, Chez Maurice a servi de lieu de rencontre prisé des Montréalais, proposant des soirées animées et des performances dans une ambiance festive.
Les Jazz clubs et showbars d’ici
Le Terminal était un club historique de la Petite-Bourgogne, actif surtout dans les années 1930-1940, Le Terminal devint un after-hours prisé des musiciens. À la fin des années 1930, le saxophoniste Mynie Sutton y dirige The Canadian Ambassadors, souvent présenté comme l’un des premiers grands ensembles de jazz noirs structurés au Canada. Des vedettes américaines y passent après leurs engagements pour des jam-sessions tardives.
Nos arénas et centres sportifs
Icône architecturale de l’est de Montréal conçue par Roger Taillibert à la demande du maire Jean Drapeau, le Stade olympique est un stade omnisports couvert de 56 000 places, aménageable jusqu’à ≈ 80 000 selon la configuration. Inauguré pour les Jeux de 1976, il a ensuite accueilli les Expos de Montréal (1977–2004) et d’innombrables méga-concerts.
Clubs et salles électro
Le Lime Light (1973–1990) était une discothèque mythique de Montréal, située au 1254 rue Stanley. Fondé par Yvon Lafrance et François Mireault, il fut l’épicentre de la culture disco au Canada et contribua à définir les standards nord-américains en lumière, ambiance, programmation et mix DJ. Le DJ Robert Ouimet y régna de 1973 à 1981, devenant une figure internationale du mouvement disco et remportant les titres de meilleur DJ nord-américain (Rolling Stone, 1976) et DJ de l’année (Billboard, 1977).
Montréal, ville ouverte
Dans les années 1930-1950, Montréal devient une « ville ouverte », célèbre pour ses cabarets, ses bars et ses activités clandestines, attirant artistes américains, touristes et contrebandiers. Animée par le boulevard Saint-Laurent, la métropole vit alors un âge d’or du jazz, du burlesque et des spectacles exotiques. Cette effervescence décline toutefois sous les campagnes anticorruption de Jean Drapeau et Pacifique Plante, mettant fin à cette ère où Montréal fut la capitale nord-américaine du vice.
Les origines et l’évolution des arts de la scène à Montréal
1606-2025
L’histoire des arts de la scène à Montréal remonte symboliquement à 1606 avec Le Théâtre de Neptune de Marc Lescarbot, première pièce en Amérique du Nord, marquée par une vision coloniale aujourd’hui critiquée.
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La chronologie des salles de spectacles de Montréal
1825-2025
Parcourez une frise chronologique illustrée retraçant l’histoire des principaux lieux de spectacles et de la vie nocturne de Montréal, de la fin du XIXᵉ siècle à aujourd’hui.
Montréal sous emprise : le Chicago du nord
1940-1970
À Montréal, les clubs de nuit respectables et exempts de toute activité illégale ou douteuse étaient rares.
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Les théâtres disparus de Montréal
Première salle exclusivement consacrée au théâtre et aux arts de la scène au Canada et première véritable salle de spectacle à Montréal dotée d’une scène équipée, de coulisses spacieuses et d’un vaste auditorium, le Théâtre Royal ouvre en 1825 et lance un cycle de quatre « Théâtre Royal » successifs (1825-1913) : Royal-Molson, Royal-Olympic, Royal-Hays et Royal-Côté.
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